Pour cette première journée sur l’île, nous avions choisi de rester dans les environs de l’hôtel où nous logions (voir article précédent) pour ne pas avoir à faire beaucoup de route. Nous avions atterri le matin même à minuit à l’aéroport de Tenerife Sud.
Pour la matinée, nous avions prévu d’aller nous balader en bord de mer à Los cristianos, Playa de la Americas et en fin de matinée, nous sommes remontés sur la Costa Adeje. Le soleil était au RDV et il faisait chaud ! Vraiment très agréable pour un mois de Novembre. Il y a encore beaucoup de touristes à cette époque de l’année et notamment beaucoup d’Allemands et d’Anglais. Tous les restaurants et les commerces en bord de mer sont ouverts tôt le matin et jusqu’à une heure très tardive le soir.
Il y a très peu de plages de sable fin à Tenerife étant donné qu’il s’agit d’une île volcanique. Vous verrez un peu plus loin dans l’article les photos de la plage de San Juan avec son sable noir. Il y a énormément de rochers dans l’eau qui sont très dangereux notamment pour les surfeurs (un surfeur a brisé sa planche sur un énorme rocher juste devant nos yeux). Débutants s’abstenir ! Malgré la chaleur, l’eau était quand même très froide… et nous n’avons pas tellement profité de la baignade durant notre séjour.
Palmito 🙂
Vue de la Playa de las Americas sur Costa Adeje
Après notre promenade matinale en bord de mer, nous avons pris la route pour aller visiter le village de Guia de Isora aux maisons traditionnelles canariennes. La route pour s’y rendre est vraiment magnifique. D’un côté, vous avez une magnifique vue sur la côte et un océan à perte de vue, et de l’autre, une vue imprenable sur les montagnes immenses du Parc du Teide.
Le village de Guia de Isora est connu pour sa superbe église Nuestra Señora de La Luz que nous sommes bien sûr allés visiter.
Eglise de Nuestra Senora de la Luz
En redescendant en bord de mer en direction de la playa de San Juan, nous avons été surpris par le nombre de plantations de bananiers qu’il y avait au bord de la route… des bananiers à perte de vue ! Les parcelles sont délimitées par des filets ou carrément des murs en moellon. C’est assez hallucinant.
Après 40 minutes de route sinueuse entre les plantations de bananiers, nous arrivons sur la plage de San Juan, plage de sable noir où nous avons pu profité d’un magnifique coucher de soleil.
Claire
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